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Maude

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Lundi 1 août 1 01 /08 /Août 00:00

Alors que la mode semble être à l'épilation quasi intégrale du pubis, bon nombre de jeunes filles et femmes préfèrent rester 'au naturel'.

C'est un choix à respecter.

D'ailleurs, en institut, il n'est pas rare d'épiler les aisselles et les jambes des femmes sans pour autant le pubis, qu'elles ne demandent pas forcément de façon majoritaire.

 Explications : La psychologie du poil

La présence du poil définitif constitue un caractère sexuel secondaire autant pour l'homme que pour la femme.

Un corps poilu envoie un message émotionnel de maturité sexuelle. Les femmes qui se coupent les poils sous les aisselles, les jambes, ok, car il faut quand même donner une 'image' dans la norme, mais autour du pubis font réagir émotionnellement l'homme de manière identique à ce qu'une fille pré-pubertaire le ferait. Sans pour dire que les hommes qui aiment que leur femme se rase ont des fantasmes qui se rapprochent de la pédophilie, mais peut être un fantasme lié à la vue des actrices de films X ?

L'exigence esthétique de l'épilation et celle de la minceur chez la femme vont de paire, soit de donner une image de la femme immature et innocente. La norme de la minceur a comme objectif d'enfantiliser la femme. La rondeur et la pilosité féminine dérangent. Une femme mature impressionne et suscite le respect. Une femme sans rondeur et sans poils, c'est moins menaçant. L'homme peut plus facilement la dominer et la manipuler.

Le principal rôle que joue la pilosité dans la relation sexuelle est de stimuler la libido. Ils ont un grand pouvoir érotique à la vue et à l'odeur. En effet, les poils conservent longtemps les odeurs corporelles provenant des sécrétions des glandes apocrine. Ce qui ne veut pas dire qu'il faut associer la présence du poil à l'hygiène ! Et encore moins le contraire car l'épilation du pubis doit être bien faite, bien entretenue, cela revient cher en temps en argent. Il n'y a rien de plus laid que des poils repoussant rapidement. Celà fait négligée et en plus ça gratte énormément.

Donc si vous avez facilement des infections urinaires, oubliez tout simplement tout rasage ou épilation du pubis.

Pourquoi ? Explications

La femme épilée perd de la sensibilité à détecter les changements de température, d'humidité, de son environnement. 

Certains sexologues diront même qu'une femme qui se rase les poils sur le corps se place en position de faiblesse. Elle a perdu son pouvoir de contrôle sur l'aspect érotique de la relation, elle se place dans une position de soumission face au comportement génital de l'homme, permettant à celui-ci de se laisser aller sans retenue à ses fantasmes . . . En oubliant ceux de sa femme !

Epilation et pornographie :

Sa partenaire devient un objet qui n'a d'autre utilité que de satisfaire ses pulsions génitales. Ce n'est pas pour rien que dans la pornographie toutes les femmes sont rasées sur le corps à quatre-vingt-dix-sept pour cent. En effet l'objectif de la pornographie est de diffuser une image soumise de la femme. La pornographie réveille les pulsions génitales des hommes pour les associer à un message selon lequel les femmes existent uniquement pour assouvir leurs fantasmes.

Une femme qui se rase, a un comportement de soumission et d'abdication face à la possibilité d'obtenir du plaisir. Les femmes rasées dans les revues pornographiques ou de mode affichent leur soumission. Dans la majorité des cas, la pornographie utilise des femmes minces ou sans rondeurs et sans poils. La femme mince sert à neutraliser ou à ignorer l'aspect émotif, donc ce choix élimine la possibilité du rapport affectueux pour se centrer sur la génitalité. L'absence de poils est signe de soumission, la femme doit être soumise aux fantasmes sexuels de l'homme.

L'épilation chez la femme est un signe de soumission comme l'est le tatouage pour les denseuses nues, les prostituées et les motards criminalisés. Il constitue un rite initiatique pour être accepter dans le groupe (la société). Les femmes qui gardent leurs poils sont considérées comme des dissidentes. Elles sont marginalisées et exclues de la classe des femmes respectables.

Pour lutter contre ce dictat culturel, il faut commencer par expliquer aux adolescentes la beauté des poils, leurs utilités et du danger de les couper. Au départ, si elles se rasent ou utilisent des crèmes épilatoires, leurs poils repousseront à chaque fois un peu plus vite et plus drus, transformant la toison moelleuse habituelle en un paillasson peu hospitalier !

C'est aussi le but d'une esthéticienne. Car il faut sans doute le rappeler, peu de femmes le font en institut, ce qui fait que parfois c'est catasstrophique !

Si en plus vous êtes de nature 'ronde', oubliez simpelment l'épilation car c'est plutôt destiné aux femmes très minces.

L'appréciation de la beauté de la rondeur et de la pilosité féminine vont dans le même sens, soit de valoriser la femme comme la nature a voulu qu'elle soit. Pour la femme, se sentir belle au naturel favorise une bonne santé mentale.

 

Illustrations :

Au naturel ou non !

 

Par Maude - Publié dans : Beauté et Santé
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Commentaires

je ne comprends pas les femmes qui ne se laisse pas pousser les poils au pubis par fois on se dit que c'est naturel une question : souvent je vois des femmes dans les douches avec une toisson naturel et a la plage aussi , ma deuxieme question: y a t il des femmes qui le laisse pousser naturelment ? j'en vois beaucoup, alors vive les toisson naturels car la natures nous a faite ainsi. E n tout cas je trouve vulgaire de s'épiler, ca fait actrice de X, et devant le gynéco . . .
commentaire n° :1 posté par : Cécile le: 01/08/2005 à 11h03
toute personne qui se lave quotidiennement, qu'elle ait la foufoune nature ou épilée intégrale, a une hygiène correcte.

de plus, les poils ont une fonction : protéger les muqueuses fragiles des frottements et irritations.
il est impressionnant de constater la montée en flèches des problèmes gynéco (vulvites et vaginites) ces dernières années, en meme temps que la "mode" (c'en est une) des épilations intégrales ou quasi.

Comment faisaient nos parents et autres soixante-huitards pour s'aimer autant? Ils ne se posaient pas toutes ces questions de poils!

mymm
commentaire n° :2 posté par : mymm le: 01/08/2005 à 11h24
moi j'ai été épilée integrale, et bien mon homme n'a pas aimé... il m'a dit que j'avais perdu toute sensualité, et il regrettait ce coté "ile mysterieuse" qui le trouble tant. Maintenant je ne m'épile que le maillot classique, parfois bresilien, mais pas plus. Finalement, je trouve ça bien plus feminin.Par contre, je ne suis pas ok avec celles qui prétendent que l'integrale c'est plus hygiennique! je ne vois pas pourquoi! avec ou sans poils à la foufoune, on n'est pas sale et on ne sent pas mauvais si on se lave au moins 1 fois par jour.Les poils ne sont pas sales, il faut arreter de psychoter là dessus.
commentaire n° :3 posté par : soso du 13 le: 01/08/2005 à 11h26
Bonjour, voici ce que j'en pense :

Le rasage intime est aussi une coutume très ancienne au Moyen-Orient et tout au long de l'Antiquité gréco-romaine, qui est toujours maintenue en contrée islamique, et commence à connaître un regain d'énergie en Occident.

Par exemple, c’est un rituel chez les jeunes mariés avant la nuit de noces coranique afin d’assujettir et d’inférioriser la femme. Le rasage féminin donne à la vulve et au pubis l'aspect glabre des organes infantiles. C'est un signe de soumission : la femme est ainsi infantilisée, pour ne pas être positionnée comme adulte et autonome. La pratique est solidement implantée dans les pays musulmans. Chez les musulmans intégristes, le rasage intime est pratique courante.

De plus, en Inde, la femme qui se marie avec un aristocrate se doit d’être totalement rasée pour pouvoir être offerte à son seigneur comme un nouveau-né docile.

Renoncer à sa toison pubienne, à sa pilosité axillaire, à ses cheveux, voiler sa chevelure, son visage, autant de sacrifices auxquels sont contraintes les femmes dans certaines parties du monde, partout où la féminité est suspecte, crainte ou haïe. Certains châtiments expriment même un regret manifeste de certains hommes : que les femmes ne soient surtout pas autonomes et êtres à part entière c’est-à-dire proches de l’image de l’homme.

Pendant la deuxième guerre mondiale, cette pratique était très courante et on l’associait à une torture et une humiliation infligées aux personnes allant en camps de déportation. Le but était de dénaturer l’individu jusqu’au point de le rendre méconnaissable.

En Occident, il existe aussi certains matchistes qui sont émoustillés par les femmes infantilisées. C’est d’ailleurs aussi le cas dans le monde pornographe où l’épilation
totale est pratiquement omni-présente et que certaines téléspectatrices pour plaire à ces matchistes se soumettent à ce style afin de ressembler à ces actrices du porno.
Sur un tout ordre d’idées, les pédophiles, inhibés par les femmes "velues et entières" apprécient hautement les fillettes imberbes et "bien obéissantes".

Le rasage est parfois bien plus un effet de mode et de conditionnement psychologique entretenu par les médias qu’une affaire d’hygiène à proprement dite…Dans les pays de l’est, on apprécie les poils sur les jambes comme signe de féminité, de femme "chaude" tandis qu’au pays du soleil levant, au Japon, le moindre

poil est traqué…Côté Grèce, Portugal, Espagne, cela fait bien longtemps que les femmes ont une peau imberbe et toute douce contrairement à la croyance populaire.

Chez nous en France, tout comme aux Etats-Unis ou au Canada, ce qu’on appelle la pilosité axillaire, c’est-à-dire les poils aux aisselles, chez la femme est une véritable obligation de société drainée par les magazines féminins qui regorgent de filles qui démontrent que la pilosité est aujourd’hui complètement censurée. Ce qui fait d’ailleurs la grande joie et la fortune des instituts de beauté et des marchands de
rasoirs.

Pourtant, on sait que toutes les photos sans exception de ces dits magazines sont retouchées afin de projeter une image parfaite de la femme qui devient le modèle à suivre de génération en génération.

Heureusement, de plus en plus de femmes ont compris que ce jeu artificiel et superficiel n’est que supercherie afin de les faire tomber encore plus dans la consommation…et elles résistent, ces femmes, à l’appel effronté de la mode. De plus, parallèlement, de plus en plus d’hommes apprécient plus les femmes au naturel et bien dans leur peau même si cela doit comprendre quelques poils que ces midinettes-modèles sur papier glacé qui vendent leur corps et leur visage comme de la viande de bœuf chez le boucher

À une certaine époque, le rasage intime a souvent été infligée comme punition, surtout entre femmes. Elle censurait la pilosité de maturité sexuelle et le déclencheur du désir. Les femmes infligeaient une tonte pour défigurer une rivale, ou pour châtier une prostituée qui n'avait pas obéi aux règlements du milieu.

Avant la libéralisation de l'avortement, les femmes devaient subir un curetage évacuateur après l’interruption et étaient systématiquement et entièrement rasées, sans que cela soit lié à une nécessité médicale. Il fallait les punir d'avoir "tué leur bébé".

Dans un cas comme dans l'autre on s'attaquait à un signal déclencheur très puissant, destiné à susciter le désir masculin, et on espérait bien mettre la femme "hors course" avant la repousse pileuse.

Erika
commentaire n° :4 posté par : Erika le: 01/08/2005 à 12h13
Bonjour je suis au naturel et je suis bien comme ça :)
commentaire n° :5 posté par : v5 le: 09/08/2005 à 10h32
je trouve que vous y allez fort dans votre texte, de la à dire qu'une femme rasé et mince est forcement soumise, de meme pour le film x c'est juste un effet de mode et pas une question de domination, l'histoire des poils c'est chacun son goût, d'ailleurs meme les quatre photos misent sont pas très honnete prendre deux photos très belle de femme poilu et deux autres plutot fade de femme rasé, non remettons les choses à leurs place il y a de belle femme rasé ou non grosse ou maigre tous les gout sont dans la nature il ne faut pas faire de classement, il y a beaucoup de femme qui se rase dans un soucis de confort comme certain homme d'ailleurs.
Maintenant pour ce qui est de certaine coutume comme le souligne Erika c'est un autre probleme.
Je me rase et ne me sens pas le moins du monde soumise je le fais pour me faire plaisir.
Il ne faut arreter de chercher des explications de cause à effet pour tout l'etre humain peut lui aussi faire des choses simple parce qu'il en a envi.
commentaire n° :6 posté par : coquelinette le: 18/08/2005 à 15h36
Il me semblait que le poil revenait à la mode ? non ?
Que dites vous alors des hommes qui s'épilent ?
commentaire n° :7 posté par : sirius le: 18/08/2005 à 15h47
sinon à part ça et quelques prises de position un peu trop tranchées, votre site peut être et sera utile pour certains et certaines
commentaire n° :8 posté par : sirius le: 18/08/2005 à 16h02
salut ! excellent ce blog. Pour ma part je suis non épilée et je m'en porte pas plus mal. Le poil revient à la mode en plus ! bise.
commentaire n° :9 posté par : fredine le: 18/08/2005 à 16h38
Bonjour,
pour moi, je préfère, d'un point de vue esthétique, les pubis poilus. Pas les broussailles inextricables, mais une bonne touffe de poils c'est nettement plus beau et érotique qu'un sexe mal rasé ou éplilé qui le fait ressembler soit a de la chair de poulet ou à un légionnaire mal rasé.
Mesdames gardzz votre pilosité elle fait partie intégrante de votre beauté et de votre féminité!
commentaire n° :10 posté par : PIERRE le: 19/08/2005 à 23h36
Boujour. Obligé de réagir sur cet article, malgré son manque évident d'objectivité, quand je vois le ton "psychologue" donné. Sexe féminin rasé = soumission = influence du porno = métaphore de l'enfance = problème d'hygiène...? = Une belle réthorique de quelqu'un qui ne cautionne pas cet edémarche esthétique! Je dirais que si on commence a parler d'effet psychologique sur tel type d'image, la subjectivité est à prendre en compte, et un sexe épilé (ou non d'ailleurs), aura les significations que le sujet qui le rencontre lui donnera, mais rien d'universel comme votre ton laisse l'entendre. Prenons le contre argumentaire aisé : certains médecins diront même que l'épilation est un atout contre les mycoses, contrairement à ce que vous dites (les poils retiennent en effet comme vous le citez, les sécrétions corporelles, ainsi que toute autre bactérie, contre les muqueuses). Je ne sais dire, d'autant qu'il ne s'agit la que de postulats comme les votres (des femmes sont sujettes à mycoses, d'autres non, cela dépend des activités, de l'hygiène, du partenaire, bien avant la pillosité). Le fait de s'épiler rappelle la petite fille? Oui et non : il faut voir un corps dans son ensemble, les formes ne laissent alors plus trop de chance à la comparaison. Et même s'il est vrai que la pillosité est une étape sexuelle, pourquoi serait elle une "maturité" plus que l'épilation, qui semble clairement une étape postérieure encore. On pourrait d'ailleurs (toujours sur une psychologie de bas niveau, je reste dans votre ton...) dire que de ne pas s'épiler - tant l'épilation du sexe est entrée dans les moeurs aujourd'hui - est le contraire, et laisse son corps "naturel" d'adolescente... Ou voir dans le fait de s'épiler une maturité sexuelle qui a pour but la séduction, le "fonctionnel". Un sexe plus visuel, moins caché, n'est-il pas plus assumé, plus affiché, moins innocent? Et, vous ne l'abordez pas, mais si c'est tout de même avant tout simplement esthétique (et je vous l'accorde, on aime ou on aime pas, pas de souci la dessus),c'est également tactile (sensibilité, douceur au toucher, facilitation de la pénétration, etc.). On pourrait encore avec la même réthorique parler de l'image et du rapprochement entre le poil et l'animal... L'humain(e), par bien des artifices, tente de souligner cette distinction habits, maquillage, attitude, et... épilation! Mais là encore, ce serait faire des métaphores faciles. J'ai deux amies lesbiennes qui s'épilent toutes les deux : sont elles manipulées par le désir de l'homme? Ou toutes les deux soumises? Ou des produits de l'impact de l'industrie pornographique? Elles m'ont plutot parlé de fonctionnel, et pourraient se laisser aller à argumenter sur la volonté de chacune de se défaire de toute image masculine, virile, dont le poil... En clair, si en effet, je pense qu'il s'agit d'une mode (voire d'une évolution esthétique?), je ne pense pas que ce soit mieux, ou moins bien. Chacune doit faire son choix, en gardant toutefois en mémoire que plaire à son homme n'est en rien une soumission, sans pour antant évidemment que ce soit un sacrifice. Au fait : bien des femmes qui s'épilent ne le font pas a contrecoeur, ni "manipulé" par une culture qui met l'homme sur un piedestal et la femme à ses pieds (sociologiquement, la tendance est d'ailleurs plutot à la castration, mais c'est un autre sujet qu'il me semble bien vain d'aborder ici...). Et des position si révolutionnaires et si maigrement argumentées font penser aux anciennes position extrémistes du MLF, qui discréditent beaucoup plus la cause féminine qu'autre chose. Et non, cela n'est pas réservé aux femmes fines, cela n'a rien a voir (je connais bcp de femmes qui le font, votre rapprochement n'est pas du tout justifié). Personnellement, si j'ai ma préférence, je n'ai pas pour autant de position, chacune mène son esthétisme selon elle, et c'est aussi ce qui fait son charme. N'incitez donc pas, sur de si fragiles court-circuitages, d'autres personnes à convaincre de combattre un courant "à sa racine" en endoctrinant les adolescentes. Alex
commentaire n° :11 posté par : Alex le: 05/06/2009 à 14h27
Boujour. Obligé de réagir sur cet article, malgré son manque évident d'objectivité, quand je vois le ton "psychologue" donné. Sexe féminin rasé = soumission = influence du porno = métaphore de l'enfance = problème d'hygiène...? = Une belle réthorique de quelqu'un qui ne cautionne pas cet edémarche esthétique! Je dirais que si on commence a parler d'effet psychologique sur tel type d'image, la subjectivité est à prendre en compte, et un sexe épilé (ou non d'ailleurs), aura les significations que le sujet qui le rencontre lui donnera, mais rien d'universel comme votre ton laisse l'entendre. Prenons le contre argumentaire aisé : certains médecins diront même que l'épilation est un atout contre les mycoses, contrairement à ce que vous dites (les poils retiennent en effet comme vous le citez, les sécrétions corporelles, ainsi que toute autre bactérie, contre les muqueuses). Je ne sais dire, d'autant qu'il ne s'agit la que de postulats comme les votres (des femmes sont sujettes à mycoses, d'autres non, cela dépend des activités, de l'hygiène, du partenaire, bien avant la pillosité). Le fait de s'épiler rappelle la petite fille? Oui et non : il faut voir un corps dans son ensemble, les formes ne laissent alors plus trop de chance à la comparaison. Et même s'il est vrai que la pillosité est une étape sexuelle, pourquoi serait elle une "maturité" plus que l'épilation, qui semble clairement une étape postérieure encore. On pourrait d'ailleurs (toujours sur une psychologie de bas niveau, je reste dans votre ton...) dire que de ne pas s'épiler - tant l'épilation du sexe est entrée dans les moeurs aujourd'hui - est le contraire, et laisse son corps "naturel" d'adolescente... Ou voir dans le fait de s'épiler une maturité sexuelle qui a pour but la séduction, le "fonctionnel". Un sexe plus visuel, moins caché, n'est-il pas plus assumé, plus affiché, moins innocent? Et, vous ne l'abordez pas, mais si c'est tout de même avant tout simplement esthétique (et je vous l'accorde, on aime ou on aime pas, pas de souci la dessus),c'est également tactile (sensibilité, douceur au toucher, facilitation de la pénétration, etc.). On pourrait encore avec la même réthorique parler de l'image et du rapprochement entre le poil et l'animal... L'humain(e), par bien des artifices, tente de souligner cette distinction habits, maquillage, attitude, et... épilation! Mais là encore, ce serait faire des métaphores faciles. J'ai deux amies lesbiennes qui s'épilent toutes les deux : sont elles manipulées par le désir de l'homme? Ou toutes les deux soumises? Ou des produits de l'impact de l'industrie pornographique? Elles m'ont plutot parlé de fonctionnel, et pourraient se laisser aller à argumenter sur la volonté de chacune de se défaire de toute image masculine, virile, dont le poil... En clair, si en effet, je pense qu'il s'agit d'une mode (voire d'une évolution esthétique?), je ne pense pas que ce soit mieux, ou moins bien. Chacune doit faire son choix, en gardant toutefois en mémoire que plaire à son homme n'est en rien une soumission, sans pour antant évidemment que ce soit un sacrifice. Au fait : bien des femmes qui s'épilent ne le font pas a contrecoeur, ni "manipulé" par une culture qui met l'homme sur un piedestal et la femme à ses pieds (sociologiquement, la tendance est d'ailleurs plutot à la castration, mais c'est un autre sujet qu'il me semble bien vain d'aborder ici...). Et des position si révolutionnaires et si maigrement argumentées font penser aux anciennes position extrémistes du MLF, qui discréditent beaucoup plus la cause féminine qu'autre chose. Et non, cela n'est pas réservé aux femmes fines, cela n'a rien a voir (je connais bcp de femmes qui le font, votre rapprochement n'est pas du tout justifié). Personnellement, si j'ai ma préférence, je n'ai pas pour autant de position, chacune mène son esthétisme selon elle, et c'est aussi ce qui fait son charme. N'incitez donc pas, sur de si fragiles court-circuitages, d'autres personnes à convaincre de combattre un courant "à sa racine" en endoctrinant les adolescentes. Alex
commentaire n° :12 posté par : Alex le: 05/06/2009 à 14h28

Je m'épile intégralement :

-car c'est pus pratique, plus propre, ça glisse, c'est net, le garçon peut s'y retrouver et s'occuper de moi en subtilité. Le sexe doit être doux, chaud, attirant... je ne voir en quoi les poils sont attirants...s'est vrai qu'il y a à un côté sauvage, mais au touché... difficile de dire que c'est agréable non ? Puis les quelques foies où mon partenaire à envie de m'embéter pendant que je fais la vaisselle, il n'a pas peur de glisser la main dans mon jean de peur de s'eméler dans des poils !

-puis personnellement l'aspect "petite fille" m'amuse et amuse mes partenaires, alors pourquoi s'en priver ?

commentaire n° :13 posté par : Laetitia le: 17/04/2010 à 12h37
 
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